Les bases du composing sont des notions que l’on apprend à l’école (du moins dans les écoles spécialisées) ou bien en autodidacte par l’observation, le talent ou tout simplement le « bon sens » créatif.
1ère étape : La proximité dans le design
Cette notion est, je pense, fondamentale dans la relation des blocs les uns aux autres. Un bloc ne fonctionne jamais seul mais toujours en relation avec ceux qui l’entourent. Par exemple, une icône et un texte forment un bloc, ce bloc est en relation avec les autres icônes formant eux aussi des blocs. Ces blocs sont en relation avec les textes ou images alentours inclus dans une création globale.
L’objectif que l’on néglige souvent car « invisible » c’est l’espace (margin). Les séparations sont des éléments à part entières ! un conseil -> Faite respirer vos compos
2ème étape : L’alignement
Dans un doc texte, les alignements sont créés automatiquement. Ce n’est pas le cas dans une composition. Imaginez ces alignements entre vos blocs pour que cela soit organisé et hiérarchisé.
3ème étape : le contraste
Vous pouvez faite beaucoup de choses avec ce contraste. Vous pouvez le réaliser avec des formes, des tailles, des couleurs mais dans tous les cas, il est important de le prendre en compte pour une bonne lisibilité.
4ème étape : la hiérarchie des informations
rahahala , la hiérarchie… tellement important. Combien de fois un client m’a dit : » mettre plus gros, plus gras, plus coloré, plus souligné, avec une licorne, qui clignote » 🙂 Alors structurez vos contenus pour qu’ils soit clairs, plus lisibles et structurés.
5ème étape : La répétition
La répétition est ici dans le bon sens du terme. Celle de la cohérence graphique, celle qui permet de comprendre, par une charte unique et pensée, une continuité dans la composition.